Les apprentis sorciers franchissent une barrière inacceptable pour la biodiversité et le santé humaine.
Un espoir important dans le traitement de certaines maladies voit le jour dans les laboratoires de recherche,il s’agit des ARN INTERFÉRENT.
ESPOIR
Un peu d’explication. Un ARN interférent est un acide ribonucléique (ARN) simple ou double brin dont l’interférence avec un ARN messager spécifique conduit à sa dégradation et à la diminution de sa traduction en protéine. Dans la mesure où l’ARN joue un rôle crucial dans l’expression des gènes, l’ARN interférent permet de bloquer celle-ci en rendant «silencieux» tel ou tel gène. Ce phénomène a été découvert dans les années 1990, valant à Andrew Z. Fire et Craig C. Mello le prix Nobel de physiologie et de médecine en 2006. Il serait vraisemblablement un produit de l’évolution permettant aux organismes de se défendre contre l’introduction de génomes étrangers, notamment viraux, ou encore permettant de moduler l’expression des gènes.
DESESPOIR
Par contre les firmes semencières se sont rapidement intéressé à ces travaux.Certains insecticides bloquent la régulation de médiateurs neurologiques tel que l’acétylcholine présents à la fois chez les insectes et les êtres humains, imaginons l’intégration dans le patrimoine génétique des plantes cultivées de tel ARN qui bloqueraient la régulation du neuromédiateur,les conséquences sont référencées par des recherches validées,Il augmente au niveau humain le risque de contracter des troubles neurologiques ( Parkinson, Alzheimer etc) . Pas de soucis il y a la barrière des espèces faux des laboratoires de recherche ont trouvé des ARN interférents de riz dans le patrimoine génétique de cellules d’êtres humains. Adieu la barrière des espèces, Bonjour les fous. Il y avait les OGM ( TRANSGÉNIQUES), Il y a maintenant l’intégration des transgéniques à ARN interférent dans les plantes cultivées .A qui profite ces recherches, certainement pas aux agriculteurs dont les revenus ne cessent de se comprimer, en Inde des milliers de petits agriculteurs se suicident incapables de rembourser les semences transgéniques et leur compagnons, les pesticides.
A QUAND DES TRIBUNAUX INTERNATIONAUX POUR ÉCOCIDE